Cinquième année pour ce blog, avec quelques problèmes techniques en cours de route… Un court bilan d’étape. Le blog : – je reste locataire chez …
La vie dangereuse du bibliothécaire ?
Ecoutant à l’instant cette chronique du malicieux Jean-Louis Ezine, je ne résiste pas au plaisir d’en donner le lien ici. Il y est question de …
Les fils RSS, un « flop technologique » ?
Le 3 juillet, une partie de l’émission Place de la toile était consacrée aux « flops technologiques » (voir le livre de Nicolas Nova), ces technologies utiles …
Acquérir
Avec l’été qui arrive, un peu de temps pour bloguer ! J’ai l’impression d’avoir complètement rouillé et de ne pas avoir de choses passionnantes à …
La musique a toute sa place en bibliothèque
Je relaie ce manifeste important de l’ACIM, que Xavier Galaup a fait parvenir à plusieurs biblioblogueurs, parce que oui, la musique a évidemment toute sa …
John Perry Barlow, l’un des fondateurs en 1990 de l’EFF, l’Electronic Frontier Foundation, le syndicat américain des utilisateurs de l’internet, l’une des rares personnalités présentes à l’e-G8 à défendre des valeurs qui ne se traduisent pas immédiatement par un prix, évoqua une autre justification à l’appareil répressif proposé : la propriété intellectuelle, qu’il caractérisa à juste titre comme une notion distincte de celle du « droit d’auteur » : comme un brevet pris par une société commerciale sur la pensée de quelqu’un qui ne récoltera, lui ou elle, in fine que des miettes des sommes récoltées.
« Créer un learning centre : pourquoi ? comment ? »
Quelques notes prises au cours d’une JE organisée par Mediadix à Paris 10 le 26 mai dernier. Une 2e journée sur la même thématique aura …
Valence hocha la tête. Maria était comme un animal spécialisé. Depuis trente ans, elle avait consacré l’énergie de ses cinq sens à veiller sur la Bibliothèque. Dans la rue, elle devait être aussi infirme qu’une taupe à l’air libre, mais ici, on voyait mal en effet comment on aurait pu échapper à sa perception.
Richard Valence avait de l’aversion pour les bibliothèques, parce qu’il fallait s’y abstenir de tout, de faire du bruit avec ses chaussures, de faire du bruit avec ses paroles, de fumer, de remuer, de soupirer, bref de faire du bruit avec sa vie. Il y avait des gens qui disaient que ces contraintes du corps favorisent la pensée. Chez lui, elles la détruisaient instantanément.
Réforme de la catégorie B
Un billet très court pour signaler l’existence de ce blog, BAS en action, qui rend compte des débats autour du projet de décret sur la …