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pourquoi diable aller se créer une seconde vie quand celle-ci est déjà suffisamment compliquée ?
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je reste totalement insensible à ces palmiers stylisés, à cette mer plate, d’un bleu inchangé, qui sont à une île ce que « la gynécologie est à l’érotisme » (Bedos),
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résumé par Risu en « Liberlibri découvre l’agoraphobie virtuelle », mes passages sur SL ne sont que des évitements des autres avatars que je croise pour cause de timidité virtuellement transposable.
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conséquence de la ligne précédente, je n’ai pas engagé la conversation avec l’un des fondateurs de la bibliothèque francophone que j’ai pourtant croisé lors d’un de mes passages. Honte à moi !
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en matière de bibliothèques, je suis déçue que tout renvoie à des liens externes. Quel besoin de perdre du temps à chercher le bon endroit, à réussir à y arriver sans trop de dommages, pour être redirigé sur … Gallica !
Cependant, en tant que professionnelle, je pense que si nos usagers trouvent leur compte sur Second Life et s’intéressent aux différentes bibliothèques qui s’y trouvent, nous nous devons de leur offrir ce service. Je l’assurerai donc si d’aventure on me le demande (dès que je cesserai de me cogner partout, naturellement !).
Enfin, j’ai totalement oublié d’assister à une lecture de Vian qui avait lieu la semaine dernière à la bibliothèque francophone mais je me rattraperai à la prochaine parce que ce genre d’événement me plaît beaucoup.
Pour en savoir plus sur Second Life et les bibliothèques, on peut lire les nombreux billets de Vagabondages, qui a réservé au sujet une catégorie de son blog. Assessment librarian a également produit un support de formation intéressant.
Plaisant de voir quelquefois des bibliothécaires arpenter les espaces de SL.
il serait temps d’en parler un peu plus.
un p’tit Bibliocamp à la rentrée ?
Avec grand plaisir 🙂
c’est noté sur les tablettes
à Paris ou à Rennes, si Hugobiwan peut nous recevoir, et peut-être tout simplement un bibliocalmp sur SL
Ok 🙂
Quand je serai un peu plus aguérie, je réfléchirai à des blogades sur SL.