Une livraison un peu décousue et moins commentée que les précédentes, cause procrastination. Il est possible de protester en commentaire, sans aucune garantie d’effet sur le prochain numéro…
Si vous deviez n’en lire qu’un…
– Alain Carré s’interroge : un magasinier expérimenté ne pourrait-il pas, au bout d’un certain nombre d’années prétendre à effectuer de nouvelles tâches ? Quid de la motivation et de l’épanouissement au travail quand on répète les mêmes tâches inlassablement ? Et pas qu’en catégorie C, d’ailleurs.
Nouvelle catégorie B, saison 2
– Où l’on découvre que la fusion est retardée à cause de problèmes informatiques…
Et ne manquez pas le spin-off, dans la FPT 😉
Ciel, mon budget !
– Sur fabula, un dossier pour résumer les difficultés financières des universités autonomes,
– A voir aussi la semaine d’Olivier Ertzscheid dans une de ces universités en déséquilibre,
– Dans ce contexte de vaches maigres, apprendre que de nouvelles licences nationales ont été signées fait vraiment plaisir.
Nouveaux horaires, nouveaux usagers, les connaître, s’adapter… ou périr ?
– Pour Olivier Tacheau, la cause est entendue, le nerf de la guerre, ce sont les horaires, sous peine de désaffection des publics,
– Mais ne faudrait-il pas apprendre à connaître ces nouveaux usagers avant toute chose ?
– D’aucuns, plus pessimistes, considéreront qu’il est déjà trop tard et que le métier de bibliothécaire sera bientôt aussi obsolète que celui des allumeurs de réverbères.
Chemins de traverses (c’est-à-dire qu’on ne parle pas exclusivement des BU !)
– Rien de nouveau sous le soleil
Les médias sociaux, ces affreux méchants qui perdront nos enfants et qui sonnent la déconfiture du monde du travail, etc, … et s’ils n’étaient finalement que la transposition sur écran des plus anciennes de nos pratiques ?
– Solitude du professeur
Un splendide billet de François Bon, sur cette impression d’être passé de l’autre côté du mur prof/étudiant. Un écho à mon quotidien, qui est froid et policé dès que je suis derrière la banque de prêt et qui redevient chaleureux et d’un tutoiement immédiat lorsque je n’y suis plus.
J’ai commencé un avent, « 24 jours dans la vie d’un BAS », mais ça signifie que je dois rédiger vingt-quatre billets, raconter 24 fois des tâches que je fais quotidiennement, etc, donc je ne suis finalement pas certaine de le publier…