J’avais l’intention d’écrire un billet sur le sujet mais les petits jeunes (*) ont été bien plus rapides. Voyez donc chez eux.
Qu’ajouter qui n’ait déjà été dit : il faisait très froid, le RER était capricieux, j’ai tenté de me replier dans un endroit tranquille pour ne voir personne avant les épreuves (raté). Arcueil et sa maison des examens sont toujours des endroits tristes à se pendre, devoir y revenir encore n’est pas des plus agréables. J’ai entendu plusieurs candidats de BU dire à la sortie qu’ils étaient contents car ils étaient en pleine « mariannisation » de l’accueil, c’est aussi mon cas. Rien d’autre à dire, c’est un concours de plus de passé, je n’ose plus croire que ça pourrait être le dernier.
(*) Je compte en âge de blog (je ne connais pas les dates d’anniversaire des biblioblogueurs, rassurez-vous) et, en âge de blog, je suis une mémé…
Wait and see! C’est déjà courageux de se confronter au froid glacial et à l’adversité des épreuves…
A propos de l’épreuve, je veux bien rencontrer Super-Bib capable de pondre un plan d’amélioration de l’accueil avec accompagnement au changement et tout et tout en 4h… Me ferait limite culpabiliser sur mon rendement professionnel.
4 heures, c’est horriblement court, je confirme !
Bonjour,
surtout allez super-décontractée à l’écrit, en ayant révisé un max d’un quart d’heure. Cela fonctionne, c’est un constat assez partagé.
Plus facile à dire qu’à faire, mais on essaiera 🙂