Et voilà, le dernier jour du mois est encore arrivé sans s’annoncer et j’ai manqué la publication du billet mensuel que je m’étais promis de rédiger sur ce blog atone. Contrairement au mois précédent où, bien qu’aussi en retard, j’avais pu livrer quelques liens à lire, me voici aujourd’hui les mains vides. La preuve en image, je n’ai pas fait mes devoirs de veille depuis quinze jours au moins.
Qu’ai-je donc bien pu faire de mes journées pour ne pas ouvrir l’agrégateur ? J’ai catalogué, j’ai travaillé avec quelqu’un qui était en stage, j’ai catalogué, j’ai fait pleins de tests avec un collègue (merci à lui !) pour parvenir à une méthode plus automatisée pour les commandes (j’en reparlerai dès que tout sera au point), j’ai catalogué, je suis allée en réunion, j’ai catalogué, j’ai évidemment fait du service public, j’ai catalogué, j’ai préparé des commandes et j’ai catalogué. Tout ça n’est pas une excuse : avec une charge de travail souvent plus lourde, les mois précédents j’arrivais à dégager un peu de temps pour m’intéresser à ce qui se passait ailleurs dans les bibliothèques et les universités.
L’été arrive, heureusement, pour remettre tous les compteurs à zéro.
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Vous partiez ? Hop, par ici ! Ce serait mal me connaître que de penser que, même n’ayant pas ouvert l’agrégateur, j’allais vous laisser partir ainsi, sans une petite lecture à vous mettre sous la dent…
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Si vous n’en lisez qu’un, ou plutôt qu’une série…
ce serait assurément ces billets de Martine Sonnet, qui était ce mois-ci locataire du blog Espace réflexifs. J’ai trouvé passionnant de pouvoir faire la petite souris dans le bureau d’un chercheur un mois durant.
Il faudrait le lire !
Quelqu’un que je ne dénoncerai pas, sur twitter, s’attristait que le blog sur les SGBM n’attire pas davantage de commentaires. Je répondais insolemment, c’est écrit petit, il n’y a pas d’images…
Trêve de plaisanterie, je suis la première à laisser la lecture de ce blog de côté, alors que je sais que son contenu est intéressant, qu’il est susceptible de devenir mon quotidien dans pas bien longtemps. Je ne le lis pas, justement parce que ce satané quotidien reprend le dessus, avec ses piles de documents à traiter, avec les interruptions fréquentes dont est faite la vie professionnelle dans un casi open space, qui m’empêchent désormais de me concentrer dans des lectures un peu longues. Il fut un temps où je me replongeais le soir dans ce type de lectures, j’avoue que je ne le fais plus.
Promis, avant la sortie, j’essaie de profiter d’un SP calme pour pouvoir regarder ce blog !
La gueule de l’emploi ?
Les collègues en ont parlé ici et là, je serais bien bêcheuse si je ne le faisais pas à mon tour, surtout pour saluer le beau travail des DCB 20 !
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Il reste dans mes carnets Evernote un certain nombre de notes faites à la va-vite que je n’ai pas encore dépouillées. Peut-être un billet, « Désherbage des carnets avant l’été » à suivre.