Visiblement, la modification a échappé à beaucoup de monde (moi la première)…
L’épreuve sera notée sur 20, coefficient 3 : la première partie sur 12, la seconde sur 8.
Dans la première partie de l’épreuve, la version en langues vivantes disparaît complètement tandis que celles de latin ou de grec perdurent. Ceux qui choisiront une langue vivante auront une épreuve orale composée d’une traduction (dictionnaire unilingue autorisé), suivie d’un entretien avec le jury. Version pour les langues anciennes en 3 heures, préparation pour les langues vivantes : 1 heure.
La seconde partie de l’épreuve consiste en une traduction à l’oral (pas de dictionnaire autorisée) dans une langue différente de celle de la première partie, suivie d’un entretien avec le jury. Préparation 30 minutes.
Les langues proposées sont : allemand, anglais, espagnol, italien, portugais ou russe.
Pour connaître toutes les modalités de ces épreuves, voir la page relative au concours sur le site de l’enssib.
Linguistiquement parlant, il m’est avis que nous allons être beaucoup à faire de savants calculs stratégiques…