Pourquoi ces mots déjà lus à plusieurs reprises m’ont-ils fait soudain penser aux réseaux sociaux ? Dans cet extrait, c’est du jardin des plantes de Montpellier dont il est question, le texte entier est splendide, lisez-le.
“… ce sont des ombres qui se fuient ; mais il n’y a pas d’autre lieu pour y fuir les autres que celui-ci, où la même idée de la solitude attire invinciblement chacun de tous ces êtres absorbés.”
Paul Valéry, Monsieur Teste