Les récents débats sur le projet DADVSI me rappellent ces mots :
« Quand tu as livré un volume de poésie, tu as perdu tout droit dessus ; une fois qu’un discours est publié, c’est une chose qui appartient à tout le monde. » Symmaque au IVe siècle.
Dommage qu’aujourd’hui, l’on protège plus les industriels que les auteurs eux-mêmes !